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| 22.03.07 |
Interview
de Serge Tinland, l'initiateur du Projet Phenix (2/2) |
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Projection architecturale du futur
siège de la Fondation Phenix
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État d'avancement de la levée de fonds et
premier contact avec la communauté scientifique
Flashespace
Où en êtes-vous avec la collecte des fonds ?
Serge Tinland
La phase finale de réflexion et d'écriture étant à ce jour finalisée,
le est entré depuis le 1er février 2007 dans sa phase de
levée de fonds.
Je suis actuellement en contact avec plusieurs structures européennes
spécialisées dans la levée de fonds.
L'objectif des prochains mois est de réussir à convaincre de futurs
investisseurs par l'intermédiaire de ces leveurs de fonds, de l'intérêt
et opportunité de miser sur un projet aussi novateur et aussi crucial
pour l'humanité que le .
Le financement existe. Il suffit au de trouver au bon moment la bonne personne, le bon groupe,
ayant non seulement l'esprit d'entreprise, d'entreprendre, mais
aussi l'esprit d'aventure technologique, scientifique, et plus encore,
l'esprit d'utopie, cette même utopie qui a permis de réaliser les
plus belles et les plus grandes choses sur cette Terre.
Flashespace
Avez-vous déjà approché des scientifiques
dans ce but ?
Serge Tinland
Oui et non.
Oui, car dans mon entourage proche, j'ai la chance de pouvoir côtoyer
plusieurs secteurs d'activités, tant dans le domaine civil que militaire
: CNRS de Nice, faculté des sciences de Nice, DGAC, IHEDN PACA (Institut
des Hautes Etudes de Défense Nationale), divers secteurs de l'armée
(Terre, Marine et Air).
L'accueil du Projet Phenix a été très positif par l'ensemble de
ces divers contacts. Cependant, cela n'a été qu'informatif, le but
auprès de ces institutions n'étant pas de faire du prosélytisme
du Projet Phenix.
Et non, car à ce jour je n'ai pas contacté spécifiquement de scientifiques
reconnus dans leurs domaines pour leurs intérêts aux programmes
SETI ou qui travaillent dans divers secteurs de l'exobiologie.
Cette démarche ne se fera que lorsque le Projet Phenix aura trouvé
son financement.
Flashespace
Des scientifiques vous ont-ils déjà approché pour participer à ce
projet ?
Jean-Pierre Petit ?
Serge Tinland
Oui, j'ai été approché par certaines personnes travaillant dans
des domaines aussi variés que la bio-informatique, l'archéologie
ou les sciences humaines. Mais je n'ai pas eu de contact ni d'échange
avec M. Jean-Pierre Petit à ce sujet.
Je reçois depuis le 1er février 2007 divers CV de personnes ayant
des bagages scientifiques, désireux de pouvoir travailler d'une
façon professionnelle à un projet de cette envergure.
Dès que nous obtiendrons le financement de départ pour le Projet
Phenix, nous pourrons réunir à temps plein une équipe de chercheurs
pluridisciplinaires, tous diplômés et tous reconnus par leurs pairs.
Le et son concept sont novateurs dans la démarche. Le projet
ne pourra devenir qu'une référence dans son domaine d'activité.
Son originalité est de pouvoir réunir une équipe de chercheurs pluridisciplinaires,
tous diplômés et tous reconnus par leurs pairs, dans le seul et
unique but de pouvoir répondre définitivement et scientifiquement,
preuve à l'appui, à l'existence et présence ou non d'une activité
extraterrestre sur Terre et donc de répondre à la question fondamentale
de la vie intelligente dans l'Univers autre que l'Humanité.
Flashespace
Votre projet a-t-il eu un écho favorable au sein de la communauté
scientifique ?
Serge Tinland
Comme celui-ci n'a pas été pour le moment communiqué officiellement
dans le milieu de la communauté scientifique internationale, celle-ci
n'a pu donner d'avis sur le sujet.
Un des objectifs de la future Fondation Phenix est de publier ses
résultats au sein des journaux à Comité de lecture, et ce, afin
de pouvoir enfin faire avancer le dossier auprès de la communauté
scientifique internationale.
Un tel projet ne peut obtenir l'aval de l'ensemble de la communauté
scientifique internationale avant de démarrer, trop de divergences
existent entre eux sur cette question.
La seule démarche logique est d'ouvrir la Fondation et de travailler
d'une façon exclusivement scientifique, avec uniquement des chercheurs,
ingénieurs, techniciens, enquêteurs, tous professionnels.
Ensuite, la communication avec l'ensemble de la communauté scientifique
internationale se fera tout naturellement.
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(23.03.07)
(23.03.07)
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